Commençons par le positif : les bungalows sont spacieux et bien équipés, la petite piscine privative pour se rafraîchir est un plus (même si de temps à autre, la nettoyer pour éviter les algues serait utile) et le jardin de la propriété est de toute beauté. Ajoutons un restaurant agréable, un personnel souriant, des gentilles petites attentions et voilà. Rapport qualité prix très moyen, notamment à cause des carences soit du directeur, soit du groupe qui l’emploie : les chaises longues disponibles au bord de la petite plage ont vu de meilleurs jours et ne disposant pas de matelas, sont inconfortables. Les grosses crottes des trois chiens du voisin devant les chaises longues puent et attirent les mouches et impossible de se rincer les pieds au retour de la plage : il y a plus de sable que d’eau dans le rince pieds. Enfin, nous avons dû porter nous-même nos bagages à notre bungalow (à 180 m. de la réception et sous 34 degrés), le directeur, sympa pour le surplus, mais peu présent, expliquant que « oui, on doit bien avoir un diable… ». Il manque aussi un petit frigo dans les bungalows en lieu et place d’un « raffraichisseur », qui maintient les boissons au tiède plutôt qu’au chaud. Bref, pour un hôtel qui se veut haut de gamme, ce sont les petits détails qui coincent et ça, c’est au directeur de les éviter. Du poisson cru au petit déj (à 30 euros p/p) serait bienvenu. A propos : quand est-ce que ces chaines hôtelières et autres entreprises cesseront de favoriser des Français (coûteux) dans les postes de direction et donneront leur chance aux Tahitiens, souvent tout aussi capables, mais cantonnés dans des postes subalternes. En principe, l’époque des colonies est révolue, même si je ne suis pas certain que tous les français vivant en Polynésie l’ont compris…
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