探索有可攜帶寵物的努瓦耶爾戈多精選酒店

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萊斯努瓦耶勒諾富特酒店
4.2/565 評價
belle chambre , mais avons eu froid, presque pas de chauffage nous l'avons signalé, après ,la 1ere nuit on nous a proposé de changer de chambre mais comme nous étions là que pour 2 nuits on voulait pas tout déménager .. juste 2 doses de café que nous avons utilisé l’après midi donc plus pour le matin, la personne qui se trouvait à l' accueil la nuit en a cherché de partout pas trouvé donné 2 décaféiné qu' elle est allée chercher ds une autre chambre donc pour un novotel c'est un peu léger.......la cerise sur le gâteau c'est que le matin de notre départ en réglant la note du resto et bar car avons pris 2 repas sur places qui d' ailleurs étaient très corrects ... une personne est arrivée de l’extérieure qui à mon avis n” était pas un client mais plutot genre fournisseur ou quelqu'un du coin en tout cas , s'est moqué du club de foot qui était venus la veille dans cet hôtel et vraiment pas très gentiment ainsi que la personne avec qui il parlait qui me semble être la directive, et manque de chance nous étions venus pour justement cet événement !!! c'est vraiment un manque de correction de parler comme ça alors que l' hôtel à été bien content de les recevoir !! et surtout de le faire devant d'autres clients .......même si ils ne pouvaient imaginer d’où nous venions mais inadmissible de se moquer des clients en disant que la prochaine fois ils finiraient au Formule 1 ....... devant d'autres clients . pas très commercial tout ça !!!!!
倫斯舒適酒店 - 諾耶爾格古爾特
3.6/545 評價
L’hôtel nous avait été recommandé pour sa localisation, idéale pour visiter les musées du Louvre-Lens et le LAM à Villeneuve d’Ascq. Sur ce point, nous n’avons pas été trompés. En effet, l’hôtel est situé tout au bord de l’autoroute A1 et de la voie du TGV Lille-Paris. Tout au bord. L’établissement a la grâce d’un motel défraîchi d’une ville minière abandonnée du Dakota, qu’un entrepreneur français excentrique aurait racheté dans les années 1970 pour le prix d’un saucisson, et reconstruit sur une friche acquise pour pas beaucoup plus cher. Accueil cordial et efficace à la réception. Nous repartons, carte magnétique en main et traversons le parking pour gravir gaillardement l’escalier en colimaçon de béton usé qui mène vers la passerelle sur laquelle s’ouvrent les chambres à l’étage. Un pot à fleurs en zinc est accroché à la balustrade devant la porte de notre chambre. IL est rempli d’un sable gris dans lequel gisent des chewing-gums et des mégots de cigarette, sucés jusqu’à la moëlle, aux filtres mâchonnés. Pour en fuir l’odeur âcre, nous ouvrons précipitamment la porte de notre chambre et nous engouffrons à l’intérieur. Nous sommes accueillis par une bouffée violente, tiède et humide au parfum puissant de cigarette. La chambrette est triste et glauque, le mobilier morne et usé, les rideaux jaunis. L’odeur est infecte. La chambre est propre toutefois. Les lits sont faits. Rien à dire à l’équipe de nettoyage. Mais la pièce est sinistre. Et elle pue. Nous avons entendu la réceptionniste répondre au téléphone que l’hôtel était complet. Nous sommes attendus pour la visite du musée. Nous décidons de faire contre mauvaise fortune, bon cœur. Nous achèterons une bombe de désodorisant. De toute manière, nous rentrerons tard et ne resterons qu’une nuit, quittant le lendemain matin. Nous revenons vers 23 heures, heureux d’une belle visite et d’un repas joyeux avec de bons amis. Nous sommes heureux, tolérants, de très bonne composition. Et nous avons acheté une bombe de désodorisant au jasmin. Nous entrons dans la chambrette en riant, bombe en main, projetant le parfum devant nous. Le parfum retombe vite. « La mer y passerait sans laver la souillure, car l’abime est immense et la tâche est au fond ». L’odeur est là, qui s’attache à nous, nous étouffe. Resignés, nous nous couchons. Pour m’endormir, je pense à Arthur Rimbaud, bercé par le doux frou-frou de ses étoiles au ciel. Quant à moi j’écoutais, au bord de l’autoroute Le ron-ron des moteurs, des autos, des camions Le train qui hurle et siffle, le chahut des klaxons Et la pluie sur le toit, qui tombait goutte à goutte. Pour ne plus entendre ce vacarme, je plonge ma tête dans l’oreiller, grumeleux comme un vieux sac à linge rempli de chaussettes roulées en boule. Et je me récite les Ames Damnée de Baudelaire : « A la pâle lueur des lampes languissantes / Sur de profonds coussins, tout imprégnés d’odeurs » Je m’interromps après deux vers. L’oreiller pue la vieille clope. Je suffoque.
南里爾普瑞米爾經典摩杜羅酒店-博蒙海寧
3.1/527 評價
對於一個迷你價格你有:迷你空間,迷你早餐,最低服務。這是選擇。我只是想提前知道子沒有包含在價格。晚上38或40€不能申請月球。

常見問題︰

當地旅遊資訊

酒店數量7
評價數量204
最高價格EUR 251
最低價格EUR 31
平均價格(平日)EUR 74
平均價格(週末)EUR 72